Après la phase de test (T1)
Une radiographie est réalisée à J+1 post-opératoire.
Vous sortez à domicile au deuxième jour avec un protocole de soins infirmiers, une ordonnance de matériel de pansement. La douche est interdite durant toute la phase de test.
Après l’implantation définitive (T2)
Les pansements sont simples (dos + fesse / dos + abdominal)
Une radiographie de contrôle est réalisée à J+1.
L’ETP est poursuivie.
Une « Carte porteur », certificats et DMI (Dispositif Médical Implanté) vous sont remis à votre sortie.
Un suivi est réalisé à J+15, 3 mois, 6 mois et 1 ans, puis à un rythme annuel et dès que le patient le demande. Ce suivi, à vie, porte sur les réglages du dispositif, votre éducation thérapeutique et l’atteinte des objectifs en termes de gestion de la douleur. Le problème étant plurifactoriel, cette prise en charge est pluridisciplinaire. Elle fait intervenir le centre antidouleur, le médecin traitant, le médecin rééducateur et kinésithérapeute, le psychologue ou psychiatre, l’assistante sociale.
Risques et complications
L’intervention est relativement courte (1h30 à 2h00), peu agressive et totalement réversible. Elle présente peu de risques (hémorragies, infection, hématome).
On distingue deux grands types de risque : des risques liés au matériel et des risques d’implantation.
Pour l’implantation : elle présente peu de risques (hémorragies, infection, hématome) ou risques neurologiques.
Risques liés au matériel rare : déconnections, migration de l’électrode, retournement de la pile, réaction allergique aux matériaux implantés…